À moins de cinq mois des élections professionnelles dans les trois versants de la fonction publique, les tests faits dans la seule fonction publique de l’État où le scrutin se déroulera par voie électronique, de nombreux risques demeurent.  Listes électorales lacunaires, dysfonctionnements dans la communication et la réception des identifiants, mise à l’écart des agents contractuels, etc.  Pour couronner le tout, le taux de participation risque d’être catastrophique si l’on s’en tient aux simulations : de 20 % à 50 % selon les ministères.

 

La DGAP promet d’appliquer des correctifs, les syndicats –notamment la CGT — insistent pour que des mesures vigoureuses et urgentes soient prises pour éviter le fiasco. En particulier dans les outremers où les ratés sont plus nombreux.