
Épaulés par les mouvements étudiant et lycéen, les syndicats CGT, FO, Solidaires et FSU rêvent de généraliser à tous les secteurs la grève qui perdure dans les raffineries et les centrales nucléaires.
La CGT, FO, Solidaires et FSU, ainsi que les mouvements étudiants et lycéens MNL, FIDL, Unef et VL orchestrent un arrêt de travail massif le 18 octobre. Son ciblés, en plus des raffineries, l’agroalimentaire, les crèches, les transports publics, l’énergie et nucléaire, les organismes sociaux, les banques assurances, les services informatiques, la maintenance industrielle, l’éducation, la santé, le commerce, la métallurgie, etc. Le motif est partagé : « gagner de légitimes augmentations de salaire, de meilleures conditions de travail, des emplois de qualité ». De leur côté, les jeunes souhaitent « l’amélioration de leurs conditions de vie et d’études ainsi que pour une ambitieuse réforme des bourses ».
Selon les organisateurs, les employeurs –privés et publics-ont les moyens de répondre à ces attentes
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