
La confédération de Montreuil est catégorique : « la tendance est bien à l’amplification de la précarité : la faible« reprise ne se faisant qu’au travers des CDD, l’intérim, etc ». Ey cela devrait s’amplifier, anticipe-t-elle, avec les ordonnances qui permettent de « transformer des licenciements économiques en ruptures conventionnelles individuelles ou collectives ». Le syndicat ajoute que le regain d’activité dans l’industrie se fait en accroissant le recours à l’intérim.
Il revendique « le droit à un emploi stable et des prestations d’assurance chômage assurant un revenu de remplacement pour toutes et tous ».