
L’intersyndicale le déplore : le gouvernement reste de marbre devant les grèves et manifestations. « Cela ne peut plus durer. Le silence du président de la République constitue un grave problème démocratique qui conduit immanquablement à une situation qui pourrait devenir explosive », tonnent les organisations, par communiqué. Elles s’apprêtent à adresser un courrier dans ce sens à l’Elysée.
En attendant, l’intersyndicale veut faire de ce 8 mars une occasion de « pointer la détérioration particulière de la situation des femmes avec ce projet de réforme ». En plus de deux journées supplémentaires de manifs les 9 mars et 11 mars