La « clause Molière » instituée dans certains régions, vise à imposer l’usage du français sur les chantiers, oblige les entreprises candidates à un marché public à s’assurer que les ouvriers parlent et comprennent le français, ou, dans le cas contraire, à engager un interprète. Critiquée par la CGT et par le Medef, elle fait débat.Arnaud Teissier, associé chez Capstan Avocats, fait le point.
La Clause molière et le droit du travail
29 mars 2017